jeudi 29 mai 2014

Traditionnel tournoi de football de l'Ascension...sous le soleil cette fois !

Traditionnel tournoi de football organisé, ce jeudi 29 mai, par le nouveau club de l'USVA, issu de la fusion des clubs d'Ablon-sur-Seine et de Villeneuve-le-Roi. Et non moins traditionnelle cérémonie de remise de coupes aux 32 équipes participant au tournoi. Pour une fois, cette année, sous le soleil. Beau succès grâce à la mobilisation de tous les bénévoles et au fair play des jeunes joueurs.

mardi 20 mai 2014

Le Conseil général du Val-de-Marne adopte, à l'unanimité, un voeu pour la défense du droit à l'insonorisation des logements soumis aux nuisances de l'aéroport d'Orly

Sur ma proposition, le Conseil général du Val-de-Marne réuni en séance plénière a, à l'unanimité, adopté, ce lundi 19 mai 2014, un voeu pour défendre les droits des riverains de l'aéroport d'Orly à l'insonorisation de leurs logements. Le voeu salue les récentes décisions de l'Etat prorogeant d'un an (jusqu'au 31 décembre 2014) le taux de 100% du plafond réglementaire pour le calcul de l'aide à l'insonorisation et décidant l'extension du plan de gène sonore qui défini le périmètre dans lequel cette aide peut être attribuée. Et il demande au gouvernement de rétablir un niveau de la taxe sur les nuisances aériennes sonores (prélevée sur les compagnies aériennes selon le nombre et le type de mouvements aériens constatés selon le principe du pollueur payeur) compatible avec les besoins de financement des aides à l'insonorisation, ne serait-ce que du fait de ces décisions. Il rappelle aussi les revendications portées par le Département et les associations de riverains dans ce domaine (pérennisation de l'aide à 100%, suppression de la date couperet de référence,...). Enfin, il demande le règlement de la situation de l'hôpital de Villeneuve-Saint-Georges condamné à reverser les sommes perçues pour son insonorisation et des 3 résidences Valophis de Villeneuve-le-Roi qui n'ont toujours pas pu bénéficier de ces financements à la suite d'un obscur imbroglio administratif. Merci à mes collègues qui m'ont soutenu dans cette démarche et à Christine Janodet qui a accepté de cosigner ce voeu.

vendredi 16 mai 2014

L'exigence démocratique impose de retirer les machines à voter pour l'élection européenne sans attendre une mesure définitive !

Seules 62 communes françaises - dont Villeneuve-le-Roi - utilisent encore des machines à voter lors des élections. Elles suscitent, j'ai déjà eu l'occasion de m'exprimer à ce sujet à de multiples reprises, d'importantes inquiétudes - mises en exergue par le récent rapport sénatorial - sur la sécurisation de ces équipements et les garanties apportées à la sincérité du scrutin. Elles m'ont conduit à demander à l'Etat de sortir de l'ambiguïté en interdisant leur utilisation tant qu'un système fiable et reconnu par tous ne sera pas opérant. Mais au cas particulier, à ces inquiétudes s'ajoute, pour l'élection européenne du 25 mai prochain, un problème de fonctionnement et de lisibilité manifeste. En effet, en Ile-de-France par exemple, 31 listes de 30 noms chacune se présentent. Avec les machines à voter, les électeurs concernés n'en seront pas destinataires. Et toutes les listes ne vont pas - pour des raisons de coûts - pouvoir déposer de professions de foi, seul document adressé à tous les électeurs. Ainsi, ces derniers devront donc découvrir, au moment du scrutin, sur l'écran de la machine, ces 31 listes et 930 noms, et localiser celle de leur choix, le tout en quelques secondes. Or, compte tenu de la taille de l'interface, chaque bulletin reproduit n'occupera qu'un espace de l'ordre de 5 centimètres sur 8 les rendant totalement illisibles et très difficilement identifiables. Ainsi, au-delà des questions majeurs de fiabilité, c'est la capacité mêmedes électeurs concernés à choisir en toute connaissance la liste pour laquelle ils souhaitent voter qui est en cause. C'est pourquoi, j'ai adressé un courrier à Bernard Cazeneuve, Ministre de l'Intérieur, pour lui demander, sans attendre une décision sur le fond, de suspendre l'utilisation de ces machines à voter dans les communes qui en sont encore dotées pour l'élection du 25 mai 2014.

jeudi 8 mai 2014

Hommage à celles et ceux qui se sont battus et souvent ont laissé leur vie pour notre liberté

Cérémonies commémoratives de l'armistice du 8 mai 1945, aujourd'hui à Villeneuve-le-Roi et à Ablon-sur-Seine comme dans toutes les communes de France, en hommage à toutes celles et tous ceux qui se sont battus pour notre liberté. Et à 18 heures, traditionnelle cérémonie départementale devant la Préfecture du Val-de-Marne, organisée par le Conseil général et les associations d'anciens combattants.

mardi 6 mai 2014

Les doutes sur la fiabilité des machines à voter évoqués dans Le Canard Enchaîné

Ci-dessous, l'article paru dans Le Canard Enchaîné daté du 6 mai 2014, évoquant les doutes sur la fiabilité des machines à voter et citant le cas de Villeneuve-le-Roi.

vendredi 2 mai 2014

La cour d'Appel de Paris ordonne l'expulsion de la maison SNCF squattée à la gare d'Ablon-sur-Seine

Depuis près de 16 mois, une maison appartenant à la SNCF, située à proximité de la gare d'Ablon-Sur-Seine, est squattée par plusieurs dizaines de personnes. Dès l'origine, je me suis mobilisé, aux côtés de la municipalité d'Ablon, pour obtenir du propriétaire des lieux qu'il engage les actions afin d'obtenir l'évacuation de ce squat insalubre et dangereux. Rappelons que cette demande avait fait l'objet d'un voeu unanime du conseil municipal d'Ablon. Un 1er jugement, rendu le 17 octobre dernier par le tribunal d'instance de Boissy, en référé, avait rejeté la demande d'expulsion. Après de nombreux échanges, la SNCF a fait appel de ce jugement. Et, ce mercredi 30 avril 2014, la Cour d'Appel de Paris vient de rendre une décision annulant le jugement de 1ère instance et ordonnant l'expulsion sans délai de ce squat, s'appuyant non seulement sur le caractère illégal de l'installation des squateurs mais aussi sur la dangerosité et l'insalubrité du site constatées par un rapport dressé par les services de la mairie d'Aboli en juin 2013. Les responsabies de la SNCF, avec qui j'ai été en contact dès mercredi, m'ont confirmé que l'ordonnance d'expulsion serait notifiée aux intéressés dès la semaine du 5 mai et qu'ils requièreraient si nécessaire la force publique pour obtenir l'évacuation. De mon côté, j'ai immédiatement écrit à Monsieur le Préfet du Val-de-Marne, avec lequel j'ai évoqué cette situation à plusieurs reprises notamment lors de sa venue à Ablon et lorsqu'il m'avait reçu sur ce dossier à l'automne dernier, afin qu'il fasse procéder à l'évacuation du squat dès que la SNCF le sollicitera, si les occupants ne partent pas d'eux-mêmes. J'ai toute conscience du caractère humainement douloureux des expulsions, mais je ne peux admettre qu'une telle situation perdure si longtemps, dans des conditions d'illégalité évidente et de dangerosité et d'insalubrité qui mettent en danger les riverains comme les occupants eux-mêmes. Je souhaite donc que l'évacuation du site intervienne le plus vite possible maintenant.